la Vestale du Père-Lachaise
la vièle fantôme du boulevard
à l’Ouest, la rue de l’Ouest, à l’aube en 1970
Les fantômes de la colonne de Juillet
L’Arlequin anachronique du Montmartre de Picasso
Miss Kick, voyante…et aveugle, rue Mouffetard, en 1957
Dans le Pigalle interlope des fins de partie, la Môme-bijou trinque avec le temps
l’anneau du droit d’asile sur la porte de Notre-Dame
l’Isis des premiers Nautes, l’Aphrodite des réveils
Le célèbre inconnu du Pont des arts, maître du silence des orgues-enfances (1957)
la barque des premiers Nautes, l’Isis des premières proues
Au pied des gibets… fleurissent les Mandragores (le spectre de Villon, la kabbale de Brassaï)
L’autome crépusculaire de Toulouse-Lautrec au Moulin-Rouge
Le temps passe…le souvenir reste
Belleville en 1844: l’orée de la forêt…
l’enseigne la plus ancienne, toujours à flot
L’emblèle de Gilles Corrozet, premier historien de Paris, au XVIème s.
Excès de vitesse!…en 1960
l’or mélancolique des Parisii
Via Crucis et Montmartre… ce Golgotha
Le dieu Horus sur l’épaule du temps qui passe… dans le regard captif de Doisneau en 1950
à l’origine….c’était la fin
…à la croisée des chemins
L’enseigne parlante de la maison de l’alchimiste, 51 rue de Montmorency
sonnante et trébuchante: la monnaie factice du Cabaret
le décor est le spectacle
“le vin du Château-Tremblant monte à la tête du rêveur et lui ramone les idées “-Quai de l’Oise, vers 1960.
“La femme coupée en deux” dans l’entresort fantastique du Docteur Lynn, en 1879 aux Champs-Élysées
La Dive Bouteille…il n’y a pas si longtemps encore au 68 boulevard Richard Lenoir
l’énigme du tarot de Jacques Viéville, maître cartier à Paris vers 1650
La Cour des Miracles…juste à côté,dans le hors-champ
Saint-Lundi, patron occulte de Belleville!
l’oeil occulte des eaux profondes de Belleville
Des pavés de bois pour pallier la crue, en 1910, rue Bonaparte
rouge sang comme au coeur
Aux portes de Paris, les montreurs d’ours
En 1913, la rue de la parcheminerie
Mouna Aguigui, prince de Beaubourg, roi des Saltimbanques
À une passante…(Et Brassaï, Baudelaire)
le baptême mythique de Paris par Gargantua
La voyante automate de Pigalle
Le Défenseur du Temps, Automate…et Don Quichotte (dans le beaubourg ancestral des Saltimbanques)
Dans le hors-champ: la crue…1910
comme une étreinte impossible
la redondance du faubourg…du Temple
À Montmartre, en 1900, l’attente contemplative
à l’enseigne de la Lune, rue Montorgueil
à l’enseigne d’un marchand de vin du faubourg-Saint Antoine
“la Souterraine” de la banque de France où dort l’Or national des alchimies ensorcelées du Capital
à la santé de la Goulue dans les faubourgs viticoles de Montmartre
le sort forain des cavalcades
Les fantômes de la Guillotine métamorphosés en tours de prestidigitation à l’aube de 1900
Le grimoire des poètes qui se sont succédés sur les tables du Cabaret du Lapin Agile, à Montmartre
Sur le pont du Caroussel en 1852, les enfants d’Hermès, ces fantômes…
Au matin du 20 Novembre 1903, les regards levés vers le ciel au passage du Ballon “le Jaune”
à l’ombre filante des Filous
Sur le pont Mirabeau, coule la Seine
Les surréalistes au désert de Retz
“Toi qui a passé les épreuves…tu entres dans le rêve”-la rue du Figuier en 1924 dans le sillon d’Atget
Le cancer métastasé d’un réverbère, rue des Tournelles
le vendeur de verres et d’alambics
Le vent d’Est souffle sur les faubourgs qui sont encore la campagne, au XVIIème s.
l’hypnose surréaliste de Robert Desnos
Sainte-Catherine, proue secrète du Sentier
un palais chinois avant les Buttes-Chaumont
Les chiens aboient…La caravane passe… 60 rue de turenne
Apparition ou rémanence: la Môme Bijou, étoile filante de l’avant-guerre dans l’oeil interlope de Brassaï
L’étoile filante…des Mages et des Poètes
Derrière les barricades, la place des fêtes
le Paris magique de Georges Méliès
l’imagination est comme le soleil tant qu’elle ard
Le phénix alchimique sur la rosace de Notre-Dame