“la Souterraine” de la banque de France où dort l’Or national des alchimies ensorcelées du Capital
Les surréalistes au désert de Retz
sonnante et trébuchante: la monnaie factice du Cabaret
l’or mélancolique des Parisii
Derrière les barricades, la place des fêtes
“le vin du Château-Tremblant monte à la tête du rêveur et lui ramone les idées “-Quai de l’Oise, vers 1960.
la vièle fantôme du boulevard
Dans le hors-champ: la crue…1910
l’oeil occulte des eaux profondes de Belleville
La Dive Bouteille…il n’y a pas si longtemps encore au 68 boulevard Richard Lenoir
la redondance du faubourg…du Temple
Sainte-Catherine, proue secrète du Sentier
l’enseigne la plus ancienne, toujours à flot
à l’enseigne d’un marchand de vin du faubourg-Saint Antoine
l’hypnose surréaliste de Robert Desnos
Les chiens aboient…La caravane passe… 60 rue de turenne
un palais chinois avant les Buttes-Chaumont
La voyante automate de Pigalle
à l’origine….c’était la fin
Sur le pont du Caroussel en 1852, les enfants d’Hermès, ces fantômes…
À Montmartre, en 1900, l’attente contemplative
Le célèbre inconnu du Pont des arts, maître du silence des orgues-enfances (1957)
Le cancer métastasé d’un réverbère, rue des Tournelles
Le vent d’Est souffle sur les faubourgs qui sont encore la campagne, au XVIIème s.
le vendeur de verres et d’alambics
…à la croisée des chemins
Les fantômes de la Guillotine métamorphosés en tours de prestidigitation à l’aube de 1900
à la santé de la Goulue dans les faubourgs viticoles de Montmartre
le baptême mythique de Paris par Gargantua
la Vestale du Père-Lachaise
le sort forain des cavalcades
Excès de vitesse!…en 1960
En 1913, la rue de la parcheminerie
l’Isis des premiers Nautes, l’Aphrodite des réveils
L’Arlequin anachronique du Montmartre de Picasso
Des pavés de bois pour pallier la crue, en 1910, rue Bonaparte
l’imagination est comme le soleil tant qu’elle ard
Le grimoire des poètes qui se sont succédés sur les tables du Cabaret du Lapin Agile, à Montmartre
à l’Ouest, la rue de l’Ouest, à l’aube en 1970
Au matin du 20 Novembre 1903, les regards levés vers le ciel au passage du Ballon “le Jaune”
Sur le pont Mirabeau, coule la Seine
L’étoile filante…des Mages et des Poètes
Belleville en 1844: l’orée de la forêt…
Le temps passe…le souvenir reste
Apparition ou rémanence: la Môme Bijou, étoile filante de l’avant-guerre dans l’oeil interlope de Brassaï
La Cour des Miracles…juste à côté,dans le hors-champ
Saint-Lundi, patron occulte de Belleville!
“La femme coupée en deux” dans l’entresort fantastique du Docteur Lynn, en 1879 aux Champs-Élysées
Mouna Aguigui, prince de Beaubourg, roi des Saltimbanques
Aux portes de Paris, les montreurs d’ours
À une passante…(Et Brassaï, Baudelaire)
Les fantômes de la colonne de Juillet
l’anneau du droit d’asile sur la porte de Notre-Dame
Le Défenseur du Temps, Automate…et Don Quichotte (dans le beaubourg ancestral des Saltimbanques)
Via Crucis et Montmartre… ce Golgotha
à l’ombre filante des Filous
le Paris magique de Georges Méliès
Le phénix alchimique sur la rosace de Notre-Dame
à l’enseigne de la Lune, rue Montorgueil
l’énigme du tarot de Jacques Viéville, maître cartier à Paris vers 1650
L’autome crépusculaire de Toulouse-Lautrec au Moulin-Rouge
Au pied des gibets… fleurissent les Mandragores (le spectre de Villon, la kabbale de Brassaï)
“Toi qui a passé les épreuves…tu entres dans le rêve”-la rue du Figuier en 1924 dans le sillon d’Atget
Le dieu Horus sur l’épaule du temps qui passe… dans le regard captif de Doisneau en 1950
Dans le Pigalle interlope des fins de partie, la Môme-bijou trinque avec le temps
L’enseigne parlante de la maison de l’alchimiste, 51 rue de Montmorency
rouge sang comme au coeur
Miss Kick, voyante…et aveugle, rue Mouffetard, en 1957
le décor est le spectacle
comme une étreinte impossible
L’emblèle de Gilles Corrozet, premier historien de Paris, au XVIème s.
la barque des premiers Nautes, l’Isis des premières proues